Je foule la terre. Je rencontre mes chimères. Je me perds dans l’iridescence d’une bulle de savon. J’en viens aux mains.
J’ai tant attendu ce moment où ta vision se brouille quand ta nuque se brise. Je voudrai passé l’éternité à entendre ce craquement.
Comme chacun de nous tu tentais de t’évader toi aussi. Moi je prie pour que ta mort ne puisse t’affranchir de ce désagrément.
Je ressens, je pressens dans ton œil livide la puissance de mes appats que tu ne peux effleurer.
À présent vient le temps où je préfère me détourner de ton regard vide.